Après Cité noire, qui soulevait bien des interrogations, Cité blanche nous apporte des éléments de réponses. Mathilde découvre peu à peu la vie en Havensele, ses règles et sa hiérarchie parfois pesantes. Utopie ou Dystopie ? Pendant ce temps, la terre ne s’arrête pas de tourner. Thomas, préoccupé par les récents événements avec Mathilde et toujours profondément amoureux doit laisser à Alexian la gestion des émissaires, confrontés à une crise sans précédent en Asie centrale. Jonas participe aux projets de la fondation Andlauer mais envisage avec réticence son intégration à Havensele .
Toujours plus vite, ce deuxième tome, enrichi par la découverte de la vie en Havensele, poursuit le récit au rythme d’un thriller écologique et politique. On y découvre des conséquences inattendues de pollutions connues, une agence de renseignement américaine impitoyable, un coup d’état inquiétant en Asie centrale, et …
Cité, entité toujours aussi énigmatique, préoccupée par le sort de « ses enfants » et la destinée de la terre, mais pourquoi ? Sa présence, plus sensible dans ce deuxième roman, conserve cependant une grande part de mystère.
Ce deuxième tome de la trilogie d’Havensele, s’attarde moins sur les personnages eux-mêmes que sur les relations entre eux et les événements, il reste cependant porté par la personnalité de Mathilde dont on suppose qu’elle sera déterminante dans le troisième volume.
Encore une fois on attend la suite avec impatience.